Examples of using "Bay" in a sentence and their french translations:
met une muselière à votre Démon Conseiller,
La nouvelle lune sur la baie de Toyama, au Japon.
Les requins venaient à cet endroit.
Malheureusement, les baies vitrées sont rétractées.
Mais la chambre du malade est pleine.
La marée noire a pollué la baie.
endommagé , quelque part dans la baie d'équipement inférieure.
La chaîne alimentaire avait changé.
De notre maison, nous pouvons dominer la baie.
Il y a beaucoup de canots et de gens dans le golfe.
Mossel Bay est le seul endroit au monde
un peu de cannelle, de l'armoise et des feuilles de laurier.
série d'actions d'arrière-garde qui tenaient les troupes de Wellington à distance.
Avec morceaux de pomme, feuilles de laurier, clous de girofle, baies de genièvre et miel.
On nous a octroyé le privilège de pouvoir pêcher dans cette baie.
Il tenait les envahisseurs à distance à la mitrailleuse.
pendant qu'un ange était en train de lui apporter une couronne de lauriers.
tenant les Russes à distance alors que l'armée s'échappait.
le nombre de sans-abris est encore plus élevé dans la région de San Francisco.
Suchet tient consciencieusement les ennemis de la France à distance… jusqu'à ce que la nouvelle de la
j'allais recevoir un aller-simple en première classe pour Guantanamo.
Christophe Colomb appréciait les torrents de Pirate Bay, et passait souvent du temps à surfer par là-bas.
Cette petite île de Mossel Bay, en Afrique du Sud, abrite 4 000 otaries à fourrure du Cap.
Pour les atteindre, de l'autre côté de la baie, elles doivent traverser un chenal profond.
Ce dieu nous rend la joie, et nos forces renaissent ; / de son humble cité les ports nous sont ouverts ; / l'ancre se précipite et plonge au fond des mers ; / de nos vaisseaux oisifs la course est suspendue.
Il dit. Un air plus frais favorise nos vœux. / On entrevoit le port ; et, voisin de la nue, / le temple de Pallas se découvre à la vue.
Laissez mijoter pendant 5 minutes 5 belles tomates pelées et hachées, avec l'ail, le thym et le laurier.
Il visa le cerf pris au piège de son fusil.
Les rocs phéaciens ont fui dans les nuages. / De l'Épire déjà nous côtoyons les bords ; / la ville de Chaon nous reçoit dans ses ports ; / et, de loin dominant sur la plaine profonde, / Buthrote a réparé les fatigues de l'onde.
Là, nos vaisseaux lassés trouvent un sûr asile : / nous entrons ; d'Apollon nous saluons la ville.
Dans la cour du palais, de ses rameaux antiques / un laurier embrassant ses autels domestiques / les couvrait de son ombre.
Depuis qu'il est arrivé à Guantanamo Bay, Tom a été soumis à diverses formes de torture : privation de sommeil et de stimulation sensorielle, températures extrêmes, isolement prolongé, exposition au soleil et soins de santé limités.
" Il vaut mieux t'éloigner, et rasant la Sicile / prolonger tes détours et ta lenteur utile, / pour atteindre le but l'éviter avec art, / et près de Pachynum, par un prudent écart, / dans ton cours prolongé décrire un arc immense, / que d'aller, de Carybde affrontant l'inclémence, / braver ses tourbillons, ses gouffres écumants, / et de ses chiens hideux les rauques hurlements. "
" Une île, Ténédos est son antique nom, / s'élève au sein des mers, à l'aspect d'Ilion. / Avant nos longs malheurs, qui sont tombés sur elle, / son port fut florissant ; mais sa rade infidèle / n'offre plus qu'un abri peu propice au nocher. / Là, sur des bords déserts les Grecs vont se cacher. "
Le rivage des mers nous invite au repos. / Des travaux aux rameurs le sort fait le partage ; / et les autres, couchés sur l'aride rivage, / dorment au bruit de l'onde, et jusqu'au jour naissant / goûtent d'un doux sommeil le charme assoupissant.
" Didon, pleine d'effroi, hâte soudain sa fuite : / ceux qu'une même horreur, ou que la crainte excite, / attroupés en secret, veulent suivre son sort. / Des vaisseaux étaient prêts à s'éloigner du bord, / leur troupe s'en saisit ; de leur asile avare / on tire les trésors de ce monstre barbare. / Maîtres de sa richesse, et bravant son courroux, / ils voguent. Une femme a conduit ces grands coups. "
Je vais au roi pontife, et m'explique en ces mots : / " O toi qui fais parler d'une voix véridique / les lauriers de Claros, le trépied prophétique ; / que ne trompent jamais ni le flanc des taureaux, / ni le ciel, ni le vol ni le chant des oiseaux ; / que me veulent les dieux ? Tous d'une voix commune / dans les champs d'Hespérie appellent ma fortune. "