Examples of using "Breathed" in a sentence and their french translations:
Elle a pris une grande respiration.
- Il prit une profonde inspiration.
- Il a profondément respiré.
Il rendit son dernier soupir.
C'est ce que j'ai fait, j'ai inspiré
et en laissant entrer l'air,
Il respira dans l'air glacial.
Nous soupirâmes tous de soulagement.
Il inspira profondément avant d'entrer dans le bureau de son patron.
Elle inspira profondément et commença à conter sa situation.
À peine arrivé à l'hôpital, il a rendu son dernier souffle.
- Il prit une profonde inspiration.
- Il inspira profondément.
" Aux enfers dès longtemps mon ombre dut descendre ; / depuis longtemps je meurs ; et mes jours odieux / sont à charge à la terre, et maudits par les dieux, / depuis que Jupiter, qui dut me mettre en poudre, / m'a flétri de ses feux, et frappé de sa foudre. "
Elle dit : à ces mots, / elle quitte son fils ; mais aux yeux du héros / elle offre, en détournant sa tête éblouissante, / d'un cou semé de lis la beauté ravissante : / de ses cheveux divins les parfums précieux / semblent, en s'exhalant, retourner vers les cieux : / sa robe en plis flottants jusqu'à ses pieds s'abaisse ; / elle marche, et son port révèle une déesse. "
Il fuit, le héros reste : on s'étonne, et la foule / admire tant de grâce et tant de majesté. / Vénus même à son fils prodigua la beauté, / versa sur tous ses traits ce charme heureux qui touche : / elle-même en secret d'un souffle de sa bouche / imprime sur son front, allume dans ses yeux, / ce doux éclat qui fait la jeunesse des dieux, / en boucles fait tomber sa belle chevelure, / et pour lui de ses dons épuise sa ceinture. / C'est un dieu, c'est son fils. Bien moins resplendissant / sort d'une habile main l'ivoire éblouissant ; / ainsi l'art donne au marbre une beauté nouvelle ; / ou tel, entouré d'or, le rubis étincelle.
" Ô des Grecs le plus brave et le plus formidable, / fils de Tydée, hélas ! sous ton bras redoutable, / dans les champs d'Ilion, les armes à la main, / que n'ais-je pu finir mon malheureux destin ; / dans ces champs où d'Achille Hector devint la proie, / où le grand Sarpédon périt aux yeux de Troie, / où le Xanthe effrayé roule encor dans ses flots / les casques et les dards, et les corps des héros ! "