Examples of using "Hills" in a sentence and their french translations:
zones ou collines.
Les collines sont baignées de soleil.
Les collines étaient recouvertes de neige.
C'est vieux comme le monde.
Vues d'avion, les petites collines paraissent plates.
Il y a beaucoup de collines dans cette région.
Des collines et une forêt épaisse entourent la position de la Valachie sur les deux côtés.
La nouvelle route profitera aux gens qui vivent dans les collines.
Toutefois, les collines, les routes et les odeurs m'étaient familières.
La ville est alimentée en eau par un réservoir dans les collines.
C'est vieux comme le monde.
Nous avons longé des collines verdoyantes, que les premiers rayons de soleil faisaient étinceler.
La vallée du Colisée est entourée par un certain nombre de collines.
En débarquant, le roi Sébastien a repéré un détachement marocain dans les collines voisines.
Lorsque l'armée atteignit immédiatement les collines surplombant la plaine du Pharsalus, Pompey
Tous les villageois partirent dans les montagnes à la recherche d'un chat disparu.
Ces endroits viennent de sortir des collines au-dessus de temps grâce à deux facteurs principaux:
le fleuve Genusus quand son arrière-garde se heurta aux pompéiens qui les suivaient,
autant de collines qu'il le pouvait dans un circuit aussi large que possible pour empêcher César de le bloquer
À la tombée du soir, lorsque les derniers rayons de soleil colorent de rouge le ciel de la prairie, les hurlements des coyotes résonnent sur les collines.
Çà et là, l'eau brillait comme l'argent et, au-delà, la terre s'élevait en d'ondulantes collines bleues et s'évanouissaient ainsi dans la sérénité du ciel.
Va, pensée, sur tes ailes dorées ; // Va, pose-toi sur les pentes, sur les collines, // Où embaument, tièdes et suaves, // Les douces brises du sol natal !
Les astres pâlissaient, l'Aurore matinale / semait de ses rubis la rive orientale, / lorsqu'insensiblement un point noir et douteux / de loin paraît, s'élève et s'agrandit aux yeux. / C'était le Latium. Partout la joie éclate : / " Latium ! Latium ! " crie aussitôt Achate ; / " Latium ! Latium ! " disent nos cris joyeux. / Tous, d'un commun transport, nous saluons ces lieux.
Mais des monstres ailés la troupe redoutable / soudain d'un vol bruyant s'abat sur notre table, / fond sur nos aliments dans sa vorace ardeur, / souille tout, remplit tout de son infecte odeur, / et mêle un crit sinistre à son toucher immonde.
J'arrive enfin, j'arrive au palais paternel ; / je vole vers mon père : ô désespoir cruel ! / Mon père, qu'avant tout doit sauver ma tendresse, / quand je veux au danger dérober sa vieillesse, / refuse de survivre à nos communs malheurs, / et d'aller dans l'exil prolonger ses douleurs.
Nous partons : nous voyons la riche Oléaros, / Naxos chère à Bacchus, et la blanche Paros, / Donyse aux verts bosquets, tant d'îles renommées / qui sur les vastes mers en cercle sont semées.