Examples of using "Shore" in a sentence and their french translations:
et à atteindre le rivage.
Les vagues déferlent sur la plage.
- Il marcha le long du rivage.
- Il a marché le long du rivage.
Je vais sur la rive.
Tom nagea jusqu'au rivage.
Le bateau a jeté l'ancre près de la rive.
La promenade longe la côte.
Nous fîmes une promenade sur les berges du lac.
Notre bateau dériva vers la côte à cause du courant.
Il fit des efforts désespérés pour atteindre le rivage.
Nous fîmes une promenade sur les berges du lac.
Mon passe-temps préféré est de me promener le long de la plage.
Une marche de quelques minutes me conduisit au rivage.
Nous fîmes une promenade sur les berges du lac.
Tous veulent fuir ces lieux et ce bord sacrilège, / où l'hospitalité n'a plus de privilège.
Le vent et la marée ont poussé le navire vers le rivage.
La maison au bord du lac est à moi.
Maintenant, imaginez que vous vous trouvez sur le rivage,
et il pourrait y avoir à manger le long de la côte.
Mais la marée haute a attiré des périls plus grands encore sur le rivage.
J'ai vu un bateau de pêche à environ un mile de la côte.
Les vagues de la mer se fracassent contre les rochers du rivage.
Des millions de dollars ont été dépensés pour tenter de consolider l'entreprise.
La maison qui se dresse au bord du lac est la mienne.
Je dois vite atteindre la rive. Cette aventure ne fait que commencer.
Nous fîmes une promenade sur les berges du lac.
Le jour suivant, le naufrage du bateau fut découvert sur la grève.
Avec des postes de surveillance installés le long du rivage, l'embuscade romaine est mise en place.
Des poches d'affrontements se développent car aucune des deux parties n'est en mesure de consolider ses rangs.
" Vos malheurs sont finis, votre asile assuré ; / vous n'allez point chercher sur de lointaines rives / un empire inconnu, des terres fugitives. "
Les Numides et les Gaulois submergent l'arrière romain, les forçant jusqu'à la rive du lac.
Mes souvenirs d'enfance sont dominés par la côte rocheuse, l'estran et la forêt de kelp.
Trois fois le flot mugit sous la roche profonde ; / trois fois jusques aux cieux la mer lance son onde.
Cependant le vent tombe et meurt avec le jour. / Des Cyclopes cruels j'aborde le séjour : / je l'ignorais.
Résigné, je me dirigeais vers le rivage. J'ai été attiré par quelque chose sur ma gauche.
Quand Marie était assise au bord de la mer, lisant le journal et mangeant une glace, elle se sentait comme au paradis.
Un désir curieux de mon âme s'empare ; / je brûle d'admirer un destin si bizarre, / de voir, d'entretenir le successeur d'Hector.
" Lorsqu'enfin de plus près tu verras la Sicile, / et que des bancs étroits qui séparent cette île / l'embouchure à tes yeux ira s'agrandissant, / que sur la gauche alors ton cours s'arrondissant / laisse à droite cette île et ses gorges profondes. "
Comment allons-nous payer les factures? Les gens qui ont de l'argent dans un coin du rivage, oui, sont plus à l'aise pendant un certain temps.
Le bruit court qu'un grand roi, notre ennemi cruel, / Idomenée, a fui le trône paternel ; / qu' abandonnés des Grecs, les rivages de Crète / promettent aux Troyens une douce retraite.
" Les voilà, dit Anchise ; oui, Troyens, les voilà, / ces gouffres de Carybde, et ces rocs de Scylla ! / Aux rames, mes amis ! fuyons ces bords horribles / qu'annonçaient d'Hélénus les oracles terribles ! "
Il dit : on applaudit, on dépose au rivage / tous ceux que retenait ou leur sexe ou leur âge. / Le vent gonfle la voile ; et, sur les vastes eaux, / nous cherchons des périls et des climats nouveaux.
Rien ne paraît. Soudain s'offrent à ses regards / trois cerfs au front superbe, errant dans la campagne ; / un jeune et long troupeau de loin les accompagne.
À la belle Vénus, aux dieux dont les auspices / sont aux nobles projets funestes ou propices, / j'offre mon humble hommage ; et le sacré couteau / immole à Jupiter un superbe taureau.
Le signal est donné ; nous quittons ces rivages.
Hélas ! j'y fus suivi par mon destin funeste. / Des malheureux Troyens j'y rassemble le reste : / sur la rive des mers un nouvel Ilion, / élevé par mes mains, avait reçu mon nom.
" Enfin nous respirons ; enfin, après dix ans, / Ilion d'un long deuil affranchit ses enfants. / Le libre citoyen ouvre toutes ses portes, / vole aux lieux où des Grecs ont campé les cohortes. / On aime à voir ces champs témoins de nos revers, / ces champs abandonnés, ces rivages déserts. "
" Ici, tonne en fureur l'implacable Junon : / debout, le fer en main, la vois-tu sous ces portes / appeler ses soldats ? Vois-tu de ces cohortes / l'Hellespont à grands flots lui vomir les secours ? "
Dès qu'on put se fier à l'humide élément, / sitôt que de l'Auster l'heureux frémissement / promit à notre course une mer sans naufrage, / nos vaisseaux reposés s'élancent du rivage : / on part, on vole au gré d'un vent rapide et doux ; / et la ville et le port sont déjà loin de nous.
Plus tard, quand ils sortirent, il n’y avait pas âme qui vive sur les quais. La ville, avec ses cyprès avait un air sinistre, mais la mer était encore agitée, et se fracassait sur le rivage.
" Mais fuis la mer perfide et la côte d'Épire : / des Grecs nos ennemis ce bord est infesté. "
Anchise lève aux cieux ses vénérables mains : " Dieux ! ô dieux ! écartez ces fléaux inhumains ! / Venez à moi, dit-il, déités que j'encense ! / Secourez le malheur, secourez l'innocence ! "
" Soit qu'aux champs de Saturne, aux rivages latins, / appelés par les dieux, vous suiviez vos destins ; / soit qu'aux champs fraternels de l'heureuse Sicile / chez un prince allié vous cherchiez un asile ; / comptez sur mes bienfaits, comptez sur mes secours. "
" Là s'adressaient nos pas, lorsqu'un astre funeste, / déchaînant la tempête, et courrouçant les eaux, / parmi d'affreux rochers a jeté nos vaisseaux ; / et de nos compagnons échappés au naufrage / à peine un petit nombre a gagné le rivage. "
" Anténor, de la Grèce affrontant la furie, / a bien pu pénétrer dans les mers d'Illyrie, / a bien osé franchir ce Timave fameux / dont l'onde impétueuse, en torrents écumeux, / par sept bouches sortant et tombant des montagnes, / court d'une mer bruyante inonder les campagnes. "
Quand Jupiter, du haut de la voûte éthérée, / contemplant et la terre et la mer azurée, / et les peuples nombreux dans l'univers épars, / sur la Libye enfin arrête ses regards.
" Souffrez qu'en vos forêts notre triste naufrage / retrouve les secours que nous ravit l'orage. / Si le pieux Énée à nos vœux est rendu, / si dans les champs latins son peuple est attendu, / vers ces bords désirés nous suivrons notre course. "
" Troyens ! c'est au berceau de vos premiers parents / que je promets un terme à vos destins errants ; / allez, et recherchez la terre paternelle : / là, naîtra de vainqueurs une race éternelle ; / là règneront Énée et ses derniers neveux, / et les fils de ses fils, et ceux qui naîtront d'eux. "
Je chante les combats et ce guerrier pieux / qui, banni par le sort des champs de ses aïeux, / et des bords phrygiens conduit dans l'Ausonie, / aborda le premier aux champs de Lavinie.
Bien loin de ma patrie est une vaste terre, / que consacra Lycurgue au grand dieu de la guerre : / dans des temps plus heureux, les dieux hospitaliers / unissaient les Troyens à ces peuples guerriers.
Tout à coup de l'Etna je vois de loin la cime ; / de la profonde mer j'entends gronder l'abîme ; / j'entends le bruit lointain des rochers écumants, / et de l'onde en courroux les longs mugissements. / Avec le noir limon de ses grottes profondes / je vois monter, tomber, et remonter les ondes.
" La Sicile verra de tes nefs vagabondes / la rame opiniâtre importuner ses ondes. / Du redoutable Averne il faut domter les flots, / de la mer d'Ausonie il faut fendre les eaux, / de l'île de Circé braver l'onde infidèle, / avant de reposer dans ta cité nouvelle. "
" Si, sur les bords des eaux, se présente à ta vue / une laie aux poils blancs sur la rive étendue, / nourrissant trente enfants d'une égale blancheur, / et du fleuve voisin respirant la fraîcheur, / arrête là ton cours ; là finiront tes peines. "
Il veut que par ses mains soient offerts à la reine / les restes somptueux de la grandeur troyenne, / un pompeux vêtement enflé de bosses d'or, / un riche voile, où l'art plus magnifique encor / en flexibles rameaux fait serpenter l'acanthe, / présent que de Pâris la trop funeste amante / tint de Léda sa mère, et qui parait son sein / lorsque Pergame, hélas ! vit son fatal hymen.
Caché dans son nuage, il hésite, il balance, / veut savoir leur destin, veut savoir en quels lieux / les ont jetés les vents, les ont conduits les dieux, / quel sort les a sauvés, ou bien sur quel rivage / ils ont laissé la flotte échappée au naufrage, / et quels pressants besoins, quels intérêts nouveaux, / à Carthage ont conduit les chefs de ses vaisseaux.
" Fils d'Anchise, pourquoi, souillant des mains si pures, / viens-tu troubler mon ombre et rouvrir mes blessures ? / Hélas ! respecte au moins l'asile du trépas ; / d'un insensible bois ce sang ne coule pas. / Cette contrée a vu terminer ma misère ; / mais celle où tu naquis ne m'est point étrangère : / épargne donc ma cendre, ô généreux Troyen ! / Ma patrie est la tienne, et ce sang est le mien. / Ah ! fuis ces lieux cruels, fuis cette terre avare : / j'y péris immolé par un tyran barbare. / Polydore est mon nom ; ces arbustes sanglants / furent autant de traits qui percèrent mes flancs. / La terre me reçut ; et, dans mon sein plongée, / leur moisson homicide en arbres s'est changée. "
" Ce n'est pas tout encor : lorsque sur le rivage / aux dieux conservateurs tu paîras ton hommage, / qu'un long voile de pourpre, abaissé sur tes yeux, / dérobe à tes regards tout visage odieux ; / défends qu'aucun objet d'un augure sinistre / ne trouble le présage ainsi que le ministre. "
De Ténédos leurs nefs partent sans bruit, / la lune en leur faveur laisse régner la nuit ; / l'onde nous les ramène, et la torche fatale / a fait briller ses feux sur la poupe royale. / À cet aspect, Sinon, que le ciel en courroux, / qu'une folle pitié protégea contre nous, / aux Grecs impatients ouvre enfin la barrière.
À l'opposé du Tibre et des champs d'Ausonie, / des riches Tyriens heureuse colonie, / Carthage élève aux cieux ses superbes remparts, / séjour de la fortune et le temple des arts. / Aucun lieu pour Junon n'eut jamais tant de charmes : / Samos lui plaisait moins.
Le rapide Zéphire, et les fiers aquilons, / et les vents de l'Afrique, en naufrages féconds, / tous bouleversent l'onde, et des mers turbulentes / roulent les vastes flots sur leurs rives tremblantes. / On entend des nochers les tristes hurlements, / et des cables froissés les affreux sifflements.
" Enfin, dans l'avenir s'il m'est permis de lire, / Hélénus ne peut trop le dire et le redire : / Junon fit tous tes maux et les prolonge tous : / de la reine des dieux désarme le courroux ; / n'épargne point l'encens, les vœux, ni la prière : / ainsi tu fléchiras cette déesse altière ; / et tes heureux vaisseaux des bords siciliens / parviendront sans obstacle aux ports ausoniens. "