Translation of "Polydore" in English

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Examples of using "Polydore" in a sentence and their english translations:

Le lâche, tant qu'Hector humilia la Grèce, / respecta cet enfant, ses malheurs et son nom, / mais, dès que le destin servit Agamemnon, / l'intérêt dans son cœur faisant taire la gloire, / oublia l'amitié pour suivre la victoire. / Le cruel ( que ne peut l'ardente soif de l'or ! ) / égorge Polydore, et saisit son trésor ; / et la terre cacha sa victime sanglante.

But when our fortune and our hopes declined, / the treacherous King the conqueror's cause professed, / and, false to faith, to friendship and to kind, / slew Polydorus, and his wealth possessed. / Curst greed of gold, what crimes thy tyrant power attest!

Mais Polydore attend les suprêmes honneurs : / on relève sa tombe, on l'arrose de pleurs ; / les autels sont parés de festons funéraires ; / le cyprès joint son deuil au deuil de ces mystères ; / des femmes d'Ilion les cheveux sont épars ; / le lait, le sang sacré coulent de toutes parts ; / nous renfermons son âme en son asile sombre, / et d'un dernier adieu nous saluons son ombre.

So to his shade, with funeral rites, we rear / a mound, and altars to the dead prepare, / wreathed with dark cypress. Round them, as of yore, / pace Troy's sad matrons, with their streaming hair. / Warm milk from bowls, and holy blood we pour, / and thrice with loud farewell the peaceful shade deplore.

" Fils d'Anchise, pourquoi, souillant des mains si pures, / viens-tu troubler mon ombre et rouvrir mes blessures ? / Hélas ! respecte au moins l'asile du trépas ; / d'un insensible bois ce sang ne coule pas. / Cette contrée a vu terminer ma misère ; / mais celle où tu naquis ne m'est point étrangère : / épargne donc ma cendre, ô généreux Troyen ! / Ma patrie est la tienne, et ce sang est le mien. / Ah ! fuis ces lieux cruels, fuis cette terre avare : / j'y péris immolé par un tyran barbare. / Polydore est mon nom ; ces arbustes sanglants / furent autant de traits qui percèrent mes flancs. / La terre me reçut ; et, dans mon sein plongée, / leur moisson homicide en arbres s'est changée. "

"Spare, O AEneas, spare a wretch, nor shame / thy guiltless hands, but let the dead repose. / From Troy, no alien to thy race, I came. / O, fly this greedy shore, these cruel foes! / Not from the tree – from Polydorus flows / this blood, for I am Polydorus. Here / an iron crop o'erwhelmed me, and uprose / bristling with pointed javelins."