Translation of "Coursiers" in Portuguese

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Examples of using "Coursiers" in a sentence and their portuguese translations:

Quatre beaux coursiers blancs, dans la prairie épars, / sont le premier augure offert à nos regards.

O primeiro presságio vejo ali: / quatro ginetes brancos como a neve, / dispersos pelo prado, a relva tosam.

Mon père est distingué par sa munificence ; / mon peuple aussi reçoit de sa magnificence / des rameurs vigoureux, des armes, des guerriers ; / et ses riches haras nous cèdent leurs coursiers.

Também meu pai ganha adequadas prendas. / Além disso, nos dá Heleno alguns cavalos, / de práticos nos supre, o número completa / dos remadores e provê-nos de armas.

À ce sinistre aspect Anchise s'épouvante, / et s'écrie aussitôt d'une voix gémissante : " O notre unique asile ! ô bords hospitaliers ! / Pourquoi nous offrez-vous ces animaux guerriers ? / Les coursiers des combats sont l'effrayant présage ; / ils sont nés pour la guerre, on les dresse au carnage. / Mais ces mêmes coursiers, domptés par les humains, / traînent d'accord un char, se soumettent aux freins. / J'espère encor la paix. "

E o pai Anquises: “Guerra! – exclama ao vê-los – / é o que anuncias, terra, ao receber-nos, / pois os cavalos se armam para a guerra / e estes aqui de guerra ameaça representam. / Certo, porém, é que esses mesmos animais, / atrelados não raro ao carro, docilmente / o freio aceitam sob o jugo; assim, também / pode de paz considerar-se o augúrio.”

Tels, quand des vents rivaux les fières légions / se disputent de l'air les vastes régions, / le rapide Zéphyr, l'Autan plus prompt encore, / l'Eurus, fier de monter les coursiers de l'Aurore, / ébranlent les forêts, troublent la paix des airs, / et Neptune en courroux bouleverse les mers.

Tal o embate dos ventos na tormenta / desencadeada: o Noto, o Zéfiro e, exultante, / o Euro, puxado por corcéis da Aurora; / ruge açoitada a mata e Nereu, numa nuvem / de espuma, se embravece e, brandindo o tridente, / desde a mor profundeza agita o mar.

De héros sur ses pas une foule s'avance : / ici, c'est Périphas, fier de sa taille immense ; / là, c'est Automédon, qui d'Achille autrefois / vit les coursiers fougueux obéir à sa voix ; / et de Scyros enfin la jeunesse bouillante / fait voler jusqu'aux toits la flamme étincelante.

Ao mesmo tempo o gigantesco Perifante, / e o escudeiro Automedonte, que os frisões / de Aquiles conduzira, e toda a tropa / vinda de Ciros se aproximam do palácio / e lançam tochas para o cume dos telhados.

Voilà qu'au fond d'un bois se présente sa mère ; / son air, son vêtement, sa démarche légère, / d'une vierge de Sparte offre tous les dehors ; / ou telle, au pied d'Hémus, l'Hèbre voit sur ses bords / l'Amazone, animant les coursiers qu'elle dresse, / voler, et de ses flots devancer la vitesse.

No meio da floresta se depara / com sua mãe: dir-se-ia pelos traços, / pela maneira de vestir e até / pelas armas que traz, uma jovem de Esparta; / ou, pela forma como cansa a montaria, / a trácia Harpálice, vencendo na carreira / o Hebro veloz.

La reine cependant par cent et cent discours / de la rapide nuit veut prolonger le cours : / s'enivrant à longs traits d'un poison qu'elle adore, / elle interroge Énée, et l'interroge encore. / Elle trouve du charme à ses moindres récits ; / et, quand Priam, Hector, Andromaque et son fils, / ont fait couler ses pleurs, quand son âme étonnée, / en connaissant Achille, a frémi pour Énée, / des guerriers moins fameux veut connaître le nom, les coursiers de Rhésus, / les troupes de Memnon.

E noite adentro Dido se entretinha / em compridas conversas com Eneias, / bebendo sem saber, a desditosa, / gota a gota o veneno da paixão. / A respeito de Príamo e de Heitor / fazia mil perguntas, indagava / com quais armas Memnon, filho da Aurora, / combatera; que tais os corcéis de Diomedes / e qual era de Aquiles a estatura.