Translation of "Majesté" in Portuguese

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Examples of using "Majesté" in a sentence and their portuguese translations:

Sa majesté vous fait appeler.

Sua Majestade mandou chamar-te.

J'ai dit au roi : « Votre majesté, pardonnez-moi ! »

Eu disse ao rei: "Vossa majestade, perdoe-me!"

J'ai dit au roi : Votre Majesté, veuillez me pardonner !

- Eu disse ao rei: Vossa Real Majestade, perdoe-me!
- Eu disse ao rei: Vossa Majestade, por favor, me perdoe!

La pourpre que l'aiguille a brodée à grands frais, / l'argent pur étalé sur de riches buffets, / l'or, où, des rois de Tyr retraçant la mémoire, / l'art a de règne en règne imprimé leur histoire ; / tout d'un luxe royal offre la majesté.

De púrpura soberba e esmerado lavor, / toda a tapeçaria; sobre as mesas, / maciça prataria e, cinzelada / em vasos de ouro, série inumerável / de episódios históricos da pátria / fenícia e seus heróis desde alta origem.

Énée à la déesse / répond en peu de mots : " La jeune chasseresse / que vous me dépeignez, nous n'avons, dans ces bois, / ni rencontré ses pas, ni reconnu sa voix. / O vous ! mais de quel nom faut-il qu'on vous appelle ? / Cet air ni cette voix ne sont d'une mortelle : / oui, cet accent céleste, et cette majesté , / tout annonce dan vous une divinité, / une nymphe des bois, ou Diane elle-même, / une sœur de Diane. O déité suprème ! "

Assim Vênus falou; e logo o filho: / “Não vi ninguém, de tuas irmãs nenhuma / sequer ouvi, ó... como irei chamar-te? / Donzela? Teu semblante nada tem / de uma simples mortal, nem timbre humano / tem a tua voz, ó deusa – pois divina / deves ser. Não serás a irmã de Apolo, / ou do sangue das ninfas tu nasceste?"

Telle, dans tout l'éclat de sa divinité, / quand Diane paraît, quand ses jeunes compagnes, / les nymphes des forêts, des vallons, des montagnes, / sur lhes hauteurs du Cynthe, au bord de l'Eurotas, / bondissant en cadence, accompagnent ses pas : / à la tête des chœurs, Diane, au milieu d'elles, / surpasse en majesté toutes ces immortelles : / jeune, le front paré de son croissant divin, / un carquois sur l'épaule, et son arc à la main, / elle marche ; sa grâce en marchant se déploie, / et le cœur de Latone en palpite de joie.

Qual Diana a marcar – aljava ao ombro – / o compasso da dança pelas margens / do Eurotas, pelos píncaros do Cinto; / mil Oréades seguem-na formando / grupos ao seu redor, enquanto ela, mais alta / que todo o séquito das ninfas, se destaca / avançando garbosa e enchendo o coração / de Latona de um júbilo secreto.

Il fuit, le héros reste : on s'étonne, et la foule / admire tant de grâce et tant de majesté. / Vénus même à son fils prodigua la beauté, / versa sur tous ses traits ce charme heureux qui touche : / elle-même en secret d'un souffle de sa bouche / imprime sur son front, allume dans ses yeux, / ce doux éclat qui fait la jeunesse des dieux, / en boucles fait tomber sa belle chevelure, / et pour lui de ses dons épuise sa ceinture. / C'est un dieu, c'est son fils. Bien moins resplendissant / sort d'une habile main l'ivoire éblouissant ; / ainsi l'art donne au marbre une beauté nouvelle ; / ou tel, entouré d'or, le rubis étincelle.

Na claridade, Eneias aparece, / qual um deus no semblante e na postura; / com seu sopro divino, a genitora / dera ao filho formosa cabeleira, / da juventude o róseo viço e a sedutora / graça que de seus olhos se irradiava: / qual pelas mãos do artista se realça / do marfim a beleza, ou quando em rútilo ouro / se engasta a prata ou o mármore de Paros.