Translation of "Palais" in Portuguese

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Examples of using "Palais" in a sentence and their portuguese translations:

Où est le Palais des Beaux-Arts ?

Onde fica o Palácio de Belas Artes?

La famille royale habite dans le palais impérial.

A família real mora no palácio imperial.

Ce palais fut construit pour le riche roi.

Este palácio foi construído para o rico rei.

Le roi et sa famille vivent au palais royal.

O rei e sua família vivem no palácio real.

Comparée à notre maison, la sienne est un palais.

Comparado com a nossa casa, sua é praticamente um palácio.

À Avignon, on peut visiter le Palais des Papes.

Em Avignon, é possível se visitar o castelo do papa.

Ce palais est l'attraction la plus célèbre et la plus appréciée de notre ville.

- Este palácio é a atração mais famosa e mais apreciada de nossa cidade.
- Este palácio é a atração mais famosa e mais apreciada da nossa cidade.

Alors dans son palais elle conduit Énée, / et célèbre aux autels cette grande journée.

E ela conduz Eneias ao palácio, / não sem antes mandar que em todos os altares / ações de graças sejam celebradas.

Cependant le palais est paré pour la fête ; / un festin magnifique avec pompe s'apprête.

Para o grande banquete se adereça / com luxo esplêndido o salão central / e demais dependências do palácio.

Déjà dans des torrents de flammes / Déiphobe à grand bruit voit son palais crouler ; / vers les palais voisins le vent les fait rouler, / et leur lumière affreuse éclaire au loin la plage.

Já a mansão de Deífobo ruiu, / presa da sanha de Vulcano; já bem perto / a de Ucálegon arde; o estreito de Sigeu, / das labaredas ao clarão, reluz ao longe.

Au palais de Priam un faible espoir m'appelle ; / j'y revole, je cours jusqu'à la citadelle.

Avanço e torno a ver de Príamo o solar / e a cidadela.

Ce fracas me réveille : au faîte du palais / je cours, vole, et de loin prête une oreille avide.

Em sobressalto acordo, galgo o topo / do palácio, onde atento fico à escuta.

Dans la cour du palais, de ses rameaux antiques / un laurier embrassant ses autels domestiques / les couvrait de son ombre.

No centro do palácio, a céu aberto, / ficava um grande altar; bem próximo, um loureiro / muito antigo os Penates envolvia / em generosa sombra.

Énée vole au secours de Priam assiégé dans son palais par Pyrrhus, qui massacre tout ce qui s'offre à son bras.

Eneias voa para socorrer Príamo assediado em seu palácio por Pirro, que massacra tudo o que lhe chega ao alcance do braço.

Devant le vestibule, aux portes du palais, / Pyrrhus, le cœur brûlant d'une audace guerrière, / de ses armes d'airain fait jaillir la lumière.

Na soleira / do vestíbulo Pirro exulta de prazer / e de orgulho, portando armas de bronze, / couraça e capacete reluzentes.

Tout à coup par des cris dans l'ombre redoublés / au palais de Priam nous sommes appelés. / C'est là que nous trouvons le plus affreux carnage.

Logo um clamor atrai-nos ao palácio / de Príamo, onde a luta é tão feroz / que nos faz esquecer que outras pelejas, / em que perecem tantos, estão sendo / travadas noutros pontos da cidade.

" Et, pour l'aider à fuir de ce palais perfide, / de son lâche assassin lui livrant le trésor, / lui montra sous la terre un immense amas d'or. "

"Então lhe diz que fuja sem demora, / que deixe a pátria; e, como auxílio para a viagem, / descobre onde enterrados há tesouros, / antiga provisão secreta de ouro e prata".

De toute façon, je suis ici, dans le Palais du Gouvernement, et je resterai ici pour défendre le Gouvernement que je représente par la volonté du peuple.

De qualquer forma, estou aqui, no Palácio do Governo, e ficarei aqui defendendo o Governo que represento pela vontade do povo.

Là, vous diriez que Mars a concentré sa rage, / et qu'auprès de ces lieux Troie entière est en paix. / Le toit de la tortue assiège le palais.

De Marte a fúria infrene precipita / sobre a régia morada os dânaos, que, abrigados / pelas chamadas “tartarugas”, arremetem / contra o portão.

Il dit ; et de plus près / les flammes cependant menacent le palais ; / et, d'un cours plus rapide avançant vers leur proie, / en tourbillons fougueux leur fureur se déploie.

Já mais distinto o crepitar das chamas, / que a cidade devoram, faz-se ouvir, / de mais perto chegando as ondas de calor.

Je cherche en vain. Grands dieux ! si le sort moins cruel, / si le ciel l'eût conduite au palais paternel ! / J'y cours. Déjà les Grecs s'en étaient rendus maîtres.

À nossa casa me dirijo para ver – / ah, se fosse possível! – se ela havia / voltado para lá. Todo o edifício encontro / invadido e à mercê da sanha grega.

Tout à coup, de Pyrrhus fuyant la main cruelle, / à travers mille dards, un dernier fils du roi / s'échappe, et du palais dépeuplé par l'effroi / traverse tout sanglant la longue galerie.

Eis da morte a fugir um dos filhos do rei, / Polites, entre os dardos inimigos; / ferido, cruza os pórticos compridos, / passa correndo por desertos pátios.

" Non, je ne change point ; mes volontés suprêmes, / ma fille, en tous les temps demeureront les mêmes. / Vous verrez s'élever ces remparts tant promis ; / dans le palais des cieux vous verrez votre fils. "

“Nada receies, Citereia, que o destino / dos teus inalterável permanece; / conforme prometido, tu verás / os muros da cidade de Lavínio / e, remontado à glória, levarás / até às estrelas o teu nobre Eneias; / nada me fez mudar de parecer".

Vers la gauche, à ces mots, éclate le tonnerre ; / et, des voûtes des cieux s'élançant vers la terre, / un astre dans la nuit traînant de longs éclairs / semble sur le palais tomber du haut des airs.

Mal essa prece formulara o ancião querido, / com súbito fragor troveja no nascente / e pelo céu escuro uma estrela cadente / corre arrastando a cauda luminosa.

On voit le long des murs les échelles dressées ; / sur les degrés sanglants les cohortes pressées, / aux fronts des chapiteaux, aux sommets des piliers, / montent ; et, d'une main tenant leurs boucliers, / des traits retentissants repoussent la tempête ; / de l'autre, du palais ils saisissent le faîte.

Encostam no alto das paredes, / de ambos os lados da soleira, escadas, / que vão logo trepando. Enquanto o escudo, / ao braço esquerdo preso, os projéteis apara, / a mão direita estende-se buscando / agarrar os degraus mais elevados.

J'arrive enfin, j'arrive au palais paternel ; / je vole vers mon père : ô désespoir cruel ! / Mon père, qu'avant tout doit sauver ma tendresse, / quand je veux au danger dérober sa vieillesse, / refuse de survivre à nos communs malheurs, / et d'aller dans l'exil prolonger ses douleurs.

Quando chego, porém, ao solar pátrio, / antigo lar de tantos ancestrais, / meu pai, a quem vou logo procurar, / desejando levá-lo incontinenti / para as alturas do Ida, se recusa / a prolongar a vida e suportar o exílio, / deixando atrás de si Troia arrasada.

Voyant les Grecs vainqueurs au sein de ses remparts, / son antique palais forcé de toutes parts, / l'ennemi sous ses yeux, d'une armure impuissante / ce vieillard charge en vain son épaule tremblante, / prend un glaive à son bras dès longtemps étranger, / et s'apprête à mourir plutôt qu'à se venger.

Vendo a cidade capturada, as portas / do palácio arrombadas e seu lar / pelo inimigo profanado, o pobre ancião / põe sobre os ombros trêmulos o fardo / inútil da armadura aposentada / havia tanto tempo e, em vão cingindo a espada, / caminha para o meio da caterva / celerada, caminha para a morte.

Anius vient à nous, le front ceint à la fois / du laurier prophétique et du bandeau des rois ; / il voit, il reconnaît, il embrasse mon père, / tend à son vieil ami sa main hospitalière, / et, reserrant les nœuds d'une antique union, / reçoit dans son palais les restes d'Ilion.

Ânio, que o cetro de regente ostenta / e o sacerdócio exerce, as têmporas cingidas / do loureiro febeu e de ínfulas sagradas, / ao nosso encontro vem, e, o velho amigo Anquises / reconhecendo, hospitaleiro nos aperta / as mãos e nos conduz ao seu palácio.

" Toi, fils d'Achille ! Non, il ne fut point ton père. / D'un ennemi vaincu respectant la misère, / le meurtrier d'Hector, dans son noble courroux, / ne vit pas sans pitié Priam à ses genoux, / et, pour rendre au tombeau des dépouilles si chères, / il me renvoya libre au palais de mes pères. "

"De outra maneira se houve o próprio Aquiles, / meu inimigo, que tua língua mentirosa / chama de pai: teve o pudor de respeitar-me / os direitos e a fé do suplicante; / ao cadáver de Heitor as honras do sepulcro / concedeu, permitindo-me voltar / em paz aos meus domínios.”

Mais au fond du palais quel tableau lamentable ! / Partout l'effroi, le trouble et les gémissements : / les femmes, perçant l'air d'horribles hurlements, / dans l'enceinte royale errent désespérées ; / l'une embrasse à genoux ses colonnes sacrées, / l'autre y colle sa bouche, et ses mains, et ses yeux, / et par mille baisers leur fait de longs adieux.

Reinam, porém, lá dentro a dor e o desespero; / pelas abóbadas ecoam feminis / gritos agudos e o clamor atinge os astros, / que indiferentes ao horror fulguram. / Tomadas de terror alucinante, / pelos vastos salões a esmo correm / senhoras, abraçando-se aos umbrais / das portas e de beijos os cobrindo.

Aussitôt on s'élance ; / un passage sanglant s'ouvre à la violence ; / à travers les débris, l'ennemi furieux / poursuit rapidement son cours victorieux. / Déjà jusqu'au portique il porte le carnage ; / les premiers des Troyens que rencontre sa rage, / égorgés les premiers, expirent sous ses pas. / Il entre, et le palais se remplit de soldats.

Vence a força, escancara-se o caminho / por onde irrompe a soldadesca grega, / massacrando quem quer que se lhe oponha / e por todas as peças se espalhando.

Derrière le palais il était une issue, / une porte des Grecs encore inaperçue ; / et deux chemins secrets de ces grands bâtiments / réunissaient entr'eux les longs compartiments. / En des temps plus heureux, c'était par cette porte / qu'Andromaque souvent, sans pompe, sans escorte, / se rendait vers Priam, et, plus souvent encor, / menait à ses aïeux le jeune fils d'Hector.

Uma porta traseira camuflada, / não vista pelos gregos, dava acesso / a um passadiço entre os dois prédios do palácio, / por onde costumava Andrômaca, a infeliz, / nos bons tempos sozinha transitar, / em visita a seus sogros, ou levando / o pequeno Astianaz ao caro avô.

Quoi ! le sang regorgea sur ces bords malheureux ; / Priam meurt sous le fer, Ilion dans les feux ; / et, fière de nos maux, la détestable Hélène, / dans les remparts d'Argos rentrant en souveraine, / ira, foulant des fleurs sous ses pas triomphants, / retrouver son palais, ses aïeux, ses enfants ! / et, d'esclaves Troyens en pompe environnée, / des trésors d'Ilion marchera couronnée !

Pensei: “Não é que ela vai mesmo, sã e salva, / ver Micenas, Esparta, esposo, pais e filhos, / à pátria regressando em triunfo, qual rainha / à frente de um cortejo de mulheres / de Ílio e de toda a Frígia escravizadas! / Depois de Príamo haver sido morto a espada! / Depois de Troia ter ardido em vasto incêndio! / Depois de o litoral dardânio tantas vezes / ter-se embebido em nosso sangue!"