Translation of "Patrie" in Portuguese

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Examples of using "Patrie" in a sentence and their portuguese translations:

J'aime ma patrie.

Eu amo a minha pátria.

En matière de patrie

Quando se trata de pátria

Sa patrie est l'Allemagne.

Seu país de origem é a Alemanha.

Ma patrie est le monde.

Minha pátria é o mundo.

Ma patrie, c'est ma langue.

Minha pátria é minha língua.

Allons, enfants de la patrie!

Vamos, filhos da pátria!

Le Brésil est ma patrie.

O Brasil é a minha pátria.

Ma patrie, c'est le monde entier.

Minha pátria é o mundo inteiro.

Mourir pour la patrie est agréable.

Morrer pela pátria é agradável.

Thomas est mort pour la patrie.

Tom morreu por seu país.

La France est ma seconde patrie.

A França é minha segunda pátria.

Le monde entier est ma patrie.

Minha pátria é o mundo inteiro.

Ma patrie, c'est la langue française.

A minha pátria é a língua francesa.

Ma patrie, c'est la langue portugaise.

Minha pátria é a língua portuguesa.

Ma famille et ma patrie me manquent.

Tenho saudade da minha família e do meu país.

Les grands artistes n'ont pas de patrie.

Os grandes artistas não têm pátria.

- Il est doux et noble de mourir pour la patrie.
- Il est doux et honorable de mourir pour la patrie.

Agradável e nobre é morrer pela pátria.

- Marie est morte pour la patrie.
- Marie est morte pour son pays.

Maria morreu por seu país.

Son odieux aspect réveille ma furie ; / je brûle par sa mort de venger ma patrie.

Inflama-se minha alma; a cólera me inspira / vingar na infame a pátria agonizante.

« Ma patrie, c'est la langue portugaise » est l'une des plus belles phrases de Fernando Pessoa.

"A minha pátria é a língua portuguesa" é uma das mais belas frases de Fernando Pessoa.

En prononçant ces mots, la déesse en furie / vers ces antres, d'Éole orageuse patrie, / précipite son char.

O sangue a arder e a mente a revolver / tais pensamentos, chega a deusa à pátria / dos nimbos e tormentas – a Eólia, / que os austros impetuosos tanto açoitam.

Oh, dites-moi, est-ce que la bannière étoilée flotte encore sur la terre de la liberté et la patrie des braves ?

Ó, dizei, aquela bandeira estrelada ainda tremula sobre a terra dos livres e o lar dos corajosos?

Que le bonheur et la paix échoient à notre patrie allemande. Le monde entier aspire à la paix. Aux peuples, tendez la main !

Felicidade e paz sejam concedidas à Alemanha, nossa pátria. Todo o mundo anseia por paz; estenda sua mão para os povos.

Allons, enfants de la Patrie, Le jour de gloire est arrivé, Contre nous de la tyrannie L'étendard sanglant est levé, L'étendard sanglant est levé!

Vamos, filhos da pátria, o dia da glória chegou! Contra nós, o estandarte sangrento da tirania é levantado! O estandarte sangrento é levantado!

" Mais qui pouvait si loin attendre une patrie ? / Et qui croyait Cassandre en ces temps malheureux ? / Cédons aux lois du sort, obéissons aux dieux. "

"Porém, quem haveria de pensar / que os troianos um dia migrariam / para a distante Hespéria; quem daria / crédito então às profecias de Cassandra? / A Febo obedeçamos e, advertidos, / sigamos-lhe a mais clara indicação.”

O Troie ! ô ma patrie ! ô vénérable asile ! / Murs peuplés de héros ! murs bâtis par les dieux ! / Quatre fois, près d'entrer, le colosse odieux / s'arrête ; quatre fois on entend un bruit d'armes.

Ó minha pátria, ó Ílio tão querida, / com todos os teus templos e teus deuses! / Ó gloriosas muralhas dos dardânios! / Quatro vezes à entrada se deteve / o cavalo e em seu bojo quatro vezes / armas entrechocando-se tiniram.

Quand je songe à tous les maux que j'ai vus et que j'ai soufferts, provenant des haines nationales, je me dis que tout cela repose sur un grossier mensonge : l'amour de la Patrie.

Quando penso sobre todos os males que vi e que sofri, oriundos dos ódios das nações, digo a mim mesmo que tudo isto baseia-se numa mentira descarada: amor à pátria.

Bien loin de ma patrie est une vaste terre, / que consacra Lycurgue au grand dieu de la guerre : / dans des temps plus heureux, les dieux hospitaliers / unissaient les Troyens à ces peuples guerriers.

A terra pelos Trácios habitada, / com seus extensos campos cultivados, / protegida de Marte e onde Licurgo / belicoso reinara, antiga e hospitaleira / aliada foi de Troia, enquanto esta durou – / e mesmo laços de família uniam / aos penates troianos seus penates.

Ainsi parle Apollon. On tressaille, on s'écrie : / " Quels sont ces bords ? quelle est cette antique patrie / où le sort nous appelle, où le ciel pour toujours / de nos longues erreurs doit terminer le cours ? "

Tal mensagem de Apolo nos alegra, / mas gera grande confusão: todos perguntam / a que lugar o deus manda os errantes / troianos, convidando-os ao regresso?

" Le perfide poursuit avec sécurité : / " Grand roi, vous apprendrez la simple vérité. / D'abord, je l'avourai, ma patrie est la Grèce : / de nier mon pays je n'ai point la faiblesse ; / le sort peut, sur Sinon déployant sa rigueur, / le rendre malheureux, mais non pas imposteur. " "

"Ele, afinal todo o receio / fingido abandonando, a Príamo assim fala: / 'Toda a verdade, ó rei, vou revelar-te, / não importando o que me possa acontecer. / Em primeiro lugar, não negarei / que sou de raça argiva; e se a sorte perversa / fez Sínon infeliz, não o fará nunca / mentiroso e falaz.'"

" La reine de ces lieux est la belle Didon : / elle reçut le jour dans la riche Sidon ; / mais, d'un frère cruel fuyant la barbarie, / son courage en ces lieux s'est fait une patrie. / L'histoire de ses maux voudrait un long discours ; / je vais en peu de mots vous en tracer le cours. "

"A soberana é Dido, proveniente / da cidade de Tiro, de onde o irmão / fê-la fugir. Longa seria a narração, / com pormenores, da injustiça cometida / contra ela, mas da história vou fazer / um resumo dos fatos principais".

Le foyer des oiseaux est dans la forêt, le foyer des poissons est dans la rivière, le foyer des abeilles est dans les fleurs, et celui des petits enfants est en Chine. Nous aimons notre mère patrie depuis notre enfance, comme les oiseaux aiment la forêt, les poissons aiment la rivière, et les abeilles aiment les fleurs.

O lar dos pássaros é a floresta, o lar dos peixes é o rio, o lar das abelhas é a flor e o das criancinhas é a China. Nós amamos nossa terra natal desde a infância, assim como os pássaros amam a floresta, os peixes amam o rio e as abelhas amam as flores.

À ces mots je m'éloigne, en retournant les yeux / vers ces murs fraternels, cette terre chérie, / et vais sur l'onde encor poursuivre une patrie. / Nous côtoyons d'abord ces sommets escarpés / que les traits de la foudre ont si souvent frappés ; / de là, vers l'Italie un court trajet nous mène. / Le jour tombe ; et la nuit, de son trône d'ébène, / jette son crêpe obscur sur les monts, sur les flots.

Fazemo-nos à vela e vamos à vizinha / Acroceráunia, de onde ficam muito curtas / a rota e a travessia para a Itália. / Já o sol se põe e a sombra cobre a serrania.

" Mais bientôt mon courroux, par d'imprudents éclats, / irrita contre moi l'auteur de son trépas ; / je jurai, si le ciel secondait ma furie, / si je rentrais vainqueur au sein de ma patrie, / je jurai de venger mon déplorable ami. / Delà tous mes malheurs : dès lors, souple ennemi, / Ulysse contre moi chercha partout des armes, / répandit les soupçons, éveilla les alarmes, / et, pour se délivrer d'un reproche importun, / crut qu'un premier forfait en voulait encore un, / en un mot, il fit tant, qu'appuyé du grand prêtre... "

"Porém não soube, insano, silenciar / e jurei que se a sorte eu tivesse algum dia / de vitorioso retornar à minha pátria, / Palamedes teria um vingador; / e do ódio os aguilhões contra mim se excitaram. / Foi esta a causa principal de minha ruína: / Ulisses começou então a me aterrar / com mil e uma acusações; não se passava / um só dia sem que ele divulgasse / entre as tropas boatos maliciosos / a meu respeito e procurasse descobrir / armas que contra mim pudesse usar. / Só sossegou depois que por obra de Calcas…"

Après la proposition et l’invocation, début ordinaire des poèmes épiques, le poète commence son récit à la septième année de l’expédition de son héros, c’est-à-dire, au temps où Énée, chef des Troyens, parti de la Sicile, et faisant voile pour l’Italie, est assailli d’une violente tempête, excitée par Éole, à la sollicitation de Junon, qui continue de poursuivre les habitants de Troie, après la ruine de leur patrie, et veut s’opposer à leur établissement en Italie, où les destins ont annoncé qu’ils seront les fondateurs d’un puissant empire.

Após a proposição e a invocação, início comum dos poemas épicos, o poeta começa a narrativa no sétimo ano da expedição de seu herói, isto é, no momento em que Eneias, líder dos troianos, tendo partido da Sicília e velejando rumo à Itália, é assaltado por violenta tempestade, provocada por Éolo a instâncias de Juno, que continua a perseguir os habitantes de Troia, depois do desmoronamento de sua pátria, e quer impedir-lhes o estabelecimento na Itália, onde os fados anunciaram que eles serão os fundadores de poderoso império.

" Fils d'Anchise, pourquoi, souillant des mains si pures, / viens-tu troubler mon ombre et rouvrir mes blessures ? / Hélas ! respecte au moins l'asile du trépas ; / d'un insensible bois ce sang ne coule pas. / Cette contrée a vu terminer ma misère ; / mais celle où tu naquis ne m'est point étrangère : / épargne donc ma cendre, ô généreux Troyen ! / Ma patrie est la tienne, et ce sang est le mien. / Ah ! fuis ces lieux cruels, fuis cette terre avare : / j'y péris immolé par un tyran barbare. / Polydore est mon nom ; ces arbustes sanglants / furent autant de traits qui percèrent mes flancs. / La terre me reçut ; et, dans mon sein plongée, / leur moisson homicide en arbres s'est changée. "

“Por que razão, Eneias, dilaceras / este infeliz? Oh, deixa-me sepulto! / Evita conspurcar as mãos piedosas. / Não sou estranho para ti – gerou-me Troia – / nem da planta este humor está manando. / Oh! Foge destas plagas desumanas, / foge da terra da cobiça e da avareza. / Sou Polidoro: neste sítio me prostraram / sob uma chuva de assassinas flechas, / hoje em pontudas hastes convertidas.”