Examples of using "Munkám" in a sentence and their french translations:
Je n'ai pas d'emploi pour le moment.
Je n'ai pas d'emploi pour le moment.
Mon boulot est ennuyeux.
J'ai un travail chiant.
Je n'ai pas d'emploi pour le moment.
- C'est mon métier.
- C'est mon emploi.
C’est mon travail.
Tout est fini pour moi. J'ai perdu mon travail.
Mon travail est ma passion.
C'est mon travail, tu sais.
Voilà le but de mon travail.
Je n'ai pas d'emploi pour le moment.
- Je suis trop occupé au travail.
- Je suis trop occupée au travail.
Quand les gens me rencontrent pour la première fois au travail,
Quand j'avais presque fini ma thèse,
- Aucun autre homme ne pourrait faire mon travail.
- Personne d'autre ne pourrait faire mon travail.
Mon travail est fini.
Mon métier est de faire la vaisselle.
Mon travail est d'enseigner l'anglais.
Mon ancien travail était extrêmement ennuyeux.
Je serai à Tokyo pour affaires la semaine prochaine.
J'aime beaucoup mon travail.
J'ai un boulot à temps partiel à travailler comme Père-Noël à la galerie commerciale.
J'ai eu du travail qu'il fallait finir.
Mon travail n'est pas aussi facile que le tien.
J'ai tellement de travail que je reste une heure de plus.
Mon travail est fait.
Je dois m'assurer que les chanteurs ont une voix incroyable.
à cause mon aide aux immigrants à la frontière.
qui ne me satisfait guère.
Mon travail est presque fini.
Je suis fatigué de mon travail.
J'ai eu un boulot lorsque j'avais ton âge.
Je n'ai pas beaucoup de travail, mais c'est assez pour me garder au bureau cette semaine.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.