Examples of using "Thrice" in a sentence and their french translations:
Trois fois mesure et une fois coupe.
Trois fois le flot mugit sous la roche profonde ; / trois fois jusques aux cieux la mer lance son onde.
Trois fois mesure et une fois coupe.
Là, le fils de Thétis, sous les murs d'Ilion, / avait traîné trois fois Hector dans la poussière, / et, d'un bras teint de sang, le vendait à son pére.
Trois fois j'étends les bras, et comme une vapeur / trois fois a disparu le fantôme trompeur.
Tu te moques de moi ou quoi ? Ça fait trois fois que je te demande d'arrêter de parler et de suivre le cours.
" Deux monstres sont placés sur ce double rivage : / Carybde, qui dévore, en son avide rage, / les flots précipités dans ses antres sans fonds, / et soudain les vomit de leurs gouffres profonds ; "
" Son simulacre à peine est placé parmi nous, / que dans ses yeux pétille une flamme brillante ; / de tout son corps dégoute une sueur sanglante ; / et, secouant sa lance et son noir bouclier, / trois fois elle bondit sous son casque guerrier. "
Énée, à cet aspect, frissonne d'épouvante. / Levant au ciel ses yeux et sa voix suppliante : / " Heureux, trois fois heureux, ô vous qui, sous nos tours, / aux yeux de vos parents, terminâtes vos jours ! "
Oronte, sur le sien, tel qu'un mont escarpé, / voit fondre un large flot : par sa chute frappé, / le pilote tremblant, et la tête baissée, / suit le flot qui retombe ; et l'onde courroucée / trois fois sur le vaisseau s'élance à gros bouillons, / l'enveloppe trois fois de ses noirs tourbillons ; / et, cédant tout à coup à la vague qui gronde, / la nef tourne, s'abîme, et disparaît sous l'onde.
" Reine ! de ce grand jour faut-il troubler les charmes, / et rouvrir à vos yeux la source de nos larmes ; / vous raconter la nuit, l'épouvantable nuit / qui vit Pergame en cendre, et son règne détruit ; / ces derniers coups du sort, ce triomphe du crime, / dont je fus le témoin, hélas ! et la victime ?... "
Mais Polydore attend les suprêmes honneurs : / on relève sa tombe, on l'arrose de pleurs ; / les autels sont parés de festons funéraires ; / le cyprès joint son deuil au deuil de ces mystères ; / des femmes d'Ilion les cheveux sont épars ; / le lait, le sang sacré coulent de toutes parts ; / nous renfermons son âme en son asile sombre, / et d'un dernier adieu nous saluons son ombre.