Translation of "Hais" in Portuguese

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Examples of using "Hais" in a sentence and their portuguese translations:

- Je te hais.
- Je te hais !

- Te odeio.
- Eu te odeio.

- Je ne vous hais pas.
- Je ne vous hais point.
- Je ne te hais pas.
- Je ne te hais point.

- Eu não te odeio.
- Não te odeio.

Je hais Tom.

Odeio Tom.

Je hais l'hiver.

Detesto o inverno.

Je te hais.

- Te odeio.
- Eu te odeio.

- Je te déteste.
- Je te hais.
- Je vous hais.

- Te odeio.
- Eu te detesto.
- Eu te odeio.

Je hais cette personne.

- Detesto aquela pessoa.
- Odeio aquela pessoa.

Je hais mon voisin.

Odeio meu vizinho.

Pourquoi me hais-tu ?

Por que você me odeia?

- Je te déteste !
- Je te hais !
- Je vous hais !
- Je vous déteste !

- Te odeio.
- Eu te odeio.
- Detesto-te!

Je hais les organisations terroristes.

Odeio as organizações terroristas.

Je ne le hais pas.

Eu não o odeio.

- Je déteste l'hiver.
- Je hais l'hiver.

Detesto o inverno.

Ne me hais pas, s'il te plaît.

Por favor, não me odeie.

- Pourquoi me hais-tu ?
- Pourquoi me haïssez-vous ?

Por que você me odeia?

- Je déteste le sable.
- Je hais le sable.

Eu odeio areia.

- Je déteste les chiens.
- Je hais les chiens.

- Odeio cachorros.
- Eu odeio cachorros.

- Je déteste les maths.
- Je hais les mathématiques.

- Detesto matemática.
- Eu detesto matemática.
- Eu odeio matemática.
- Odeio matemática.

- Je hais cette école.
- Je déteste cette école.

- Eu odeio essa escola.
- Odeio essa escola.

Je ne suis pas sûr, mais je pense que je hais Tom.

Não tenho certeza, mas acho que eu odeio o Tom.

Devant lui la déesse abaissant sa hauteur : / " Roi des vents, lui dit-elle avec un air flatteur, / vous à qui mon époux, le souverain du monde, / permit et d'apaiser et de soulever l'onde, / un peuple que je hais, et qui, malgré Junon, / ose aux champs des Latins transporter Ilion, / avec ses dieux vaincus fend les mers d'Étrurie. "

A ele então, / humilde, Juno roga nestes termos: / “Ó Éolo (pois a ti o pai dos deuses / e rei dos homens deu a faculdade / de as ondas amansar e de encrespá-las / com o auxílio do vento), uma gente que odeio / no momento navega o mar Tirreno, / levando para a Itália Ílio vencida / e seus penates".