Translation of "Voile" in Portuguese

0.004 sec.

Examples of using "Voile" in a sentence and their portuguese translations:

J'aime la planche à voile.

Eu gosto de fazer windsurfe.

Nous pouvons lever le voile des ténèbres.

... podemos levantar o véu da escuridão.

- Le mauvais temps les empêcha de faire de la voile.
- Le mauvais temps les empêcha d'aller à la voile.

- O mau tempo os impediu de velejar.
- O mau tempo as impediu de velejar.

Le soleil était couvert par un voile de nuages.

O sol estava tapado por um manto de nuvens.

Il dit. L'orage affreux qu'anime encor Borée / siffle et frappe la voile à grand bruit déchirée.

Enquanto Eneias comovido assim falava, / o sopro sibilante do Aquilão / fere-lhe em cheio a vela e vagalhões / levanta aos céus.

Alors le voile tombe ; alors, de toutes parts, / je vois des dieux vengeurs la figure effrayante.

Terríficos espectros me aparecem: / são grandes numes incitados contra Troia.

- J'aimerais voguer autour du monde.
- J'aimerais naviguer autour du monde.
- J'aimerais naviguer autour du monde à la voile.

Gostaria de navegar ao redor do mundo.

Puis, d'un voile sacré nous couvrons notre tête, / et déjà pour Junon notre offrande s'apprête : / le roi pontife ainsi nous l'avait ordonné.

De um véu frígio cobrimos a cabeça / ante os altares e, seguindo as instruções / de Heleno, que ele tanto enfatizara, / conforme o ritual oferecemos / a Juno de Argos os prescritos sacrifícios.

Le jour fuit, un second s'écoule dans la joie ; / mais l'autan a soufflé, la voile se déploie, / et son souffle sur l'onde appelle nos vaisseaux.

Passam-se os dias velozmente; faz bom tempo / e dos austros ao sopro as velas intumescem, / convidativas apontando para o mar.

" Calchas veut qu'aussitôt la voile se déploie : / tous nos traits impuissants s'émousseront sur Troie, / si, dans les murs d'Argos revolant sur les eaux, / les Grecs ne vont chercher des augures nouveaux. "

"Logo em seguida, Calcas anuncia / que é preciso empreender a retirada / pelo mar, porque Pérgamo não pode / ser arrasada pelas armas dos argivos, / a menos que se vá buscar à Grécia / novos auspícios e o favor de Palas, / nas curvas quilhas o paládio lhe levando."

" Peuple heureux ! vous voyez s'élever votre ville ; / et nous, dit le héros, nous cherchons un asile ! " / Il marche cependant, de son voile entouré ; / et, mêlé dans la foule, il en est ignoré.

“Feliz é quem seus tetos já levanta!”, / exclama Eneias, dirigindo o olhar / para os pontos mais altos da cidade. / E (prodígio indizível!), envolvido / pela nuvem, no meio dos fenícios / ele introduz-se e à gente se mistura / sem por ninguém ser visto.

On se remet donc en mer ; et la flotte, après avoir essuyé une tempête, va mouiller aux îles Strophades, retraite de certains oiseaux monstrueux appelés Harpies, qui l'obligent de remettre promptement à la voile.

Volta-se então ao mar; e a frota, depois de enfrentar uma tempestade, vai fundear nas ilhas Estrófades, refúgio de aves monstruosas chamadas Harpias, que a obrigam a fazer-se de novo à vela imediatamente.

Il dit : on applaudit, on dépose au rivage / tous ceux que retenait ou leur sexe ou leur âge. / Le vent gonfle la voile ; et, sur les vastes eaux, / nous cherchons des périls et des climats nouveaux.

A isto todos com aplausos assentimos. / Também aquela terra abandonamos; / ali deixando alguns dos nossos, estendemos / velas ao vento e à vastidão do oceano / nos côncavos madeiros nos lançamos.

Sa mère cependant ne l'abandonne pas : / elle ordonne aussitôt que d'une épaisse nue / le voile officieux les dérobe à la vue ; / qu'à l'abri des retards, à l'abri du danger, / nul ne puisse les voir ni les interroger.

Vênus a marcha lhes protege, ambos – Eneias / e Acates – envolvendo em véu de espessa bruma, / escura nuvem que o poder divino / fabrica e que a ninguém permitirá / vê-los, tocá-los ou perguntas dirigir-lhes, / retardando-os, acerca de sua vinda.

Alors nous nous courbons sur les flots écumeux, / et la voile baissée a fait place à la rame : / le jour renaît aux cieux, l'espérance en notre âme ; / et de leurs bras nerveux nos ardents matelots / font écumer la mer et bouillonner les flots.

Colhem-se as velas; sem demora a marinhagem / no remar se desdobra e, entre as espumas, / vamos sulcando as águas azuladas.

" Ce n'est pas tout encor : lorsque sur le rivage / aux dieux conservateurs tu paîras ton hommage, / qu'un long voile de pourpre, abaissé sur tes yeux, / dérobe à tes regards tout visage odieux ; / défends qu'aucun objet d'un augure sinistre / ne trouble le présage ainsi que le ministre. "

"E há mais: ao termo da jornada, quando / a frota repousar além dos mares / e já na praia ante os altares os teus votos / fores cumprir, com purpurino manto / cobre a cabeça, para que, durante o culto, / figura hostil nenhuma possa, sendo vista / entre os lumes rituais, perturbar os presságios."

Tous les deux, s’avançant dans ces tristes royaumes Habités par le vide et peuplés de fantômes, Marchoient à la lueur du crépuscule obscur, Tel, lorsqu’un voile épais des cieux cache l’azur, Au jour pâle et douteux de leur lumière avare, Dans le fond des forêts le voyageur s’égare.

Na caligem da noite solitária ambos seguiam pelo reino de Plutão, amplo solar das sombras incorpóreas, qual viajores que, ao luar fraco e inconstante, o bosque trilham quando Júpiter com nuvens esconde o céu e a treva ao mundo rouba as cores.

" Tels que vous les voyez dans les airs rassemblés, / et remis de l'effroi qui les avait troublés, / en chantant battre l'air de leurs ailes bruyantes ; / ainsi vos compagnons et leurs nefs triomphantes / voguent à pleine voile ; et, rendant grâce au sort, / ils entrent, ou bientôt vont entrer dans le port. "

"Estão voltando a salvo à terra e brincam, / ruflando vivamente as asas, e, formando / um círculo no céu, cantam vitória. / Assim mesmo teus barcos e teus bravos / companheiros o porto já alcançaram / ou à barra a todo o pano estão chegando".

Palinure à l'instant, en ce péril nouveau, / vers la gauche a poussé son rapide vaisseau ; / et la voile et les vents secondant son audace, / la flotte obéissante a volé sur sa trace. / À la voix de mon père un effroi courageux / anime tous les cœurs : de ces bords orageux / nous fuyons à l'envi l'éternelle tempête.

Dito e feito. De pronto Palinuro / vira a bombordo a rangedora proa, / e o restante da frota à esquerda se mareia, / à ação dos ventos a dos remos se somando.

Il veut que par ses mains soient offerts à la reine / les restes somptueux de la grandeur troyenne, / un pompeux vêtement enflé de bosses d'or, / un riche voile, où l'art plus magnifique encor / en flexibles rameaux fait serpenter l'acanthe, / présent que de Pâris la trop funeste amante / tint de Léda sa mère, et qui parait son sein / lorsque Pergame, hélas ! vit son fatal hymen.

Deve Acates também trazer presentes, / valiosas prendas do flagelo de Ílion salvas: / um rico manto com recamos de ouro / e um véu de orlas bordadas com motivos / de louro acanto, ambos adornos finos / de Helena de Argos, mimos caros da mãe Leda; / a belíssima grega os levou de Micenas / para seu casamento espúrio em Troia.

L'olympe cependant, dans son immense tour, / a ramené la nuit triomphante du jour ; / déjà, du fond des mers jetant ses vapeurs sombres / avec ses noirs habits et ses muettes ombres, / elle embrasse le monde ; et ses lugubres mains / d'un grand voile ont couvert les travaux des humains, / et la terre, et le ciel, et les Grecs, et leur trame. / Un silence profond règne au loin dans Pergame : / tout dort.

Entretanto, o céu gira e do oceano / a noite precipita-se, envolvendo / em sombra espessa a terra e o mar e dos argivos / a cilada; por toda a cidade os troianos / lassos ao sono entregam-se: há silêncio.

Cependant les Troyens, après de longs efforts, / des champs trinacriens avaient rasé les bords. / Déjà leurs nefs, perdant l'aspect de la Sicile, / voguaient à pleine voile, et de l'onde docile / fendaient d'un cours heureux les bouillons écumants ; / quand la fière Junon, de ses ressentiments / nourrissant dans son cœur la blessure immortelle, / " Quoi ! sur moi les Troyens l'emporteraient, dit-elle ! / Et de ces fugitifs le misérable roi / pourrait dans l'Italie aborder malgré moi ! / Le destin, me dit-on, s'oppose à ma demande : / Junon doit obéir quand le destin commande... "

Mal perdiam de vista as terras da Sicília / e em rumo do alto mar alegres velejavam – / brônzeas proas sulcando as ondas espumosas – / quando Juno, em seu peito conservando / incurável ferida, a si mesma dizia: / “Será preciso que da empresa começada / eu desista vencida, sem poder / da Itália o rei dos teucros afastar, / porque sou impedida pelos fados?"

Après la proposition et l’invocation, début ordinaire des poèmes épiques, le poète commence son récit à la septième année de l’expédition de son héros, c’est-à-dire, au temps où Énée, chef des Troyens, parti de la Sicile, et faisant voile pour l’Italie, est assailli d’une violente tempête, excitée par Éole, à la sollicitation de Junon, qui continue de poursuivre les habitants de Troie, après la ruine de leur patrie, et veut s’opposer à leur établissement en Italie, où les destins ont annoncé qu’ils seront les fondateurs d’un puissant empire.

Após a proposição e a invocação, início comum dos poemas épicos, o poeta começa a narrativa no sétimo ano da expedição de seu herói, isto é, no momento em que Eneias, líder dos troianos, tendo partido da Sicília e velejando rumo à Itália, é assaltado por violenta tempestade, provocada por Éolo a instâncias de Juno, que continua a perseguir os habitantes de Troia, depois do desmoronamento de sua pátria, e quer impedir-lhes o estabelecimento na Itália, onde os fados anunciaram que eles serão os fundadores de poderoso império.

On abaisse la voile, on s'approche du bord, / et le bec des vaisseaux est tourné vers le port. / Creusée à l'orient son enceinte profonde / contre les vents fougueux et les assauts de l'onde / est recourbée en arc, où le flot mugissant / sans cesse vient briser son courroux impuissant. / À l'abri des rochers son eau calme repose ; / des remparts naturels qu'à la vague il oppose / les fronts montent dans l'air comme une double tour ; / leurs bras d'un double mur en ferment le contour ; et le temple, que l'œil croyait voir sur la plage, / recule à notre approche, et s'enfuit du rivage.

Colhem-se as velas e se aproa à costa. / Tendo a forma dum arco recortado / no litoral a leste, o ancoradouro / é defendido à entrada por penedos / escarpados que estendem mar adentro / dois altos braços, contra os quais a salsa espuma / se arremessa; da praia está a fugir o templo.

Docile au sage avis du divin interprète, / Anchise ordonne alors que la flotte s'apprête, / qu'on rattache la voile, et qu'aux vents fortunés / ses plis prêts à s'ouvrir flottent abandonnés. / Hélénus en ces mots honore sa vieillesse : / " Mortel chéri des dieux, époux d'une déesse, / qui deux fois échappas aux malheurs d'Ilion, / cette Ausonie, objet de ton ambition, / d'ici ton œil la voit, ton espoir la possède ; / mais, pour atteindre au lieu que le destin te cède, / il faut raser ses bords, et par de longs chemins, / voyageur patient, gagner ces champs lointains. / Adieu, vieillard heureux, encor plus heureux père ! / Adieu : déjà l'autan, de son souffle prospère, / sur une mer propice appelle vos vaisseaux. / Adieu : mes souvenirs vous suivront sur les eaux. "

Aprestar os navios manda Anquises, / para largar enquanto o vento é favorável. / Respeitoso, dirige-lhe a palavra / o intérprete de Apolo: “Anquises, tu que foste / considerado digno da sublime / união com Vênus, ó mortal aos deuses caro, / que foste salvo de ambos os excídios / de Pérgamo, eis da Ausônia a terra é teu solar; / solta as velas e vai a ela aportar. / Mas é preciso que navegues para além / da costa próxima, porque da Ausônia a parte / que te franqueia Apolo, fica do outro lado. / Parte, ó pai venturoso, que contigo / levas o amor e a devoção do nobre filho. / E é só, não devo retardar-te com discursos, / quando os austros começam a soprar.”