Examples of using "Razza" in a sentence and their french translations:
Espèce de poufiasse !
Espèce d'idiot !
- Espèce d'imbécile !
- Espèce d'idiot !
- Crétin !
- Idiot !
- Idiotie !
- Inconscient !
- Pauvre imbécile !
- Pauvre con !
- Espèce de bourricot !
- Espèce d'idiote !
- Idiote !
- Imbécile !
Espèce de vendu !
Quel sorte de jeu est-ce ?
- Quelle genre de personne êtes-vous ?
- Quelle sorte de personne es-tu ?
peu importe l'âge, la race et la culture.
La course se découvre également par d'autres moyens,
Cette sorte de chat ne possède pas de queue.
- La Crèvecœur est une race rare de poules françaises.
- La crèvecœur est une rare race de poule française.
Qu'est-ce donc là que cette logique : si ce n'est pas à toi, ça doit être à moi ?
Certes, la question de la diversité excède celle de la race,
Pour les français, les italiens appartiennent tous à la même race.
Je ne suis pas d'accord, ce n'est pas raciste d'utiliser le mot "race".
Quelle sorte de personne ferait cette sorte de chose ?
Loin de réfuter la thèse selon laquelle la race est responsable d'un QI plus faible, les données de Lynn ne font que l'appuyer.
A partir de l'âge nubile, l'homme et la femme, sans aucune restriction quant à la race, la nationalité ou la religion, ont le droit de se marier et de fonder une famille.
Chacun peut se prévaloir de tous les droits et de toutes les libertés proclamés dans la présente Déclaration, sans distinction aucune, notamment de race, de couleur, de sexe, de langue, de religion, d'opinion politique ou de toute autre opinion, d'origine nationale ou sociale, de fortune, de naissance ou de toute autre situation.
Aussi qu'il n'y ait aucun doute : L'Islam fait partie de l'Amérique. Et je crois que l'Amérique recèle la vérité qu'indépendamment de la race, de la religion ou de l'état, nous partageons tous des aspirations communes - vivre en paix et en sécurité ; avoir une éducation et travailler dans la dignité ; aimer nos familles, nos communautés et notre Dieu. Ces choses nous les partageons. C'est l'espoir de toute l'humanité.
Il n'y a pas, à ce stade de l'histoire mondiale aux États-Unis d'Amérique, de chose telle qu'une presse indépendante. Vous le savez et je le sais. Il n'y a pas un de vous qui ose écrire ses franches opinions, et si vous le faisiez, vous savez d'avance qu'elles ne seraient jamais publiées. Je suis hebdomadairement payé pour tenir mes franches opinions à distance du journal auquel je suis lié. D'autres d'entre vous reçoivent de mêmes émoluments pour des choses similaires, et n'importe lequel d'entre vous qui serait assez bête pour écrire de franches opinions serait à la rue à chercher un autre emploi. Si je laissais mes franches opinions être publiées dans l'une des parutions de mes journaux, mon emploi s'évaporerait avant vingt-quatre heures. Le boulot du journaliste est de détruire la vérité, de mentir effrontément, de pervertir, de diaboliser, de lécher les pieds de Mammon et de vendre son pays et sa race pour gagner son pain quotidien. Vous le savez et je le sais, et quelle folie est cette célébration d'une presse indépendante ? Nous sommes des pantins, ils tirent les ficelles et nous dansons. Nos talents, nos possibilités et nos vies sont tous la propriété d'autres hommes. Nous sommes des prostitués intellectuels.