Examples of using "Prata" in a sentence and their french translations:
Ce n'est pas de l'argent.
- Mon frère a poli l'argent.
- Mon frère a astiqué l'argenterie.
Ils ont remporté la médaille d'argent.
Sais-tu différencier l'argent de l'étain ?
La parole est d'argent mais le silence est d'or.
Le cuivre et l'argent sont deux métaux.
La liberté vaut mieux que l'or et l'argent.
Je vois de l’argent, mais je ne vois pas d’or.
La parole est d'argent, le silence vaut de l'or.
L'or est plus lourd que l'argent.
Donna est née avec une cuillère en argent dans la bouche.
Le nickel est un métal dur, d'une lueur argentée.
Il a une armoire pleine d'argenterie.
- La parole est d’argent et le silence est d’or.
- La parole est d'argent, mais le silence est d'or.
J'ai une bague en or et une autre en argent.
Ilmarinen voulait forger une épouse en or, une fiancée en argent.
- La parole est d'argent mais le silence est d'or.
- Il est bon de parler, mais il est mieux de se taire.
- La parole est d’argent et le silence est d’or.
- La parole est d'argent, mais le silence est d'or.
- La parole est d’argent, le silence est d’or.
Il avait entendu des histoires merveilleuses de villes d'or et d'arbres d'argent.
Qu'est-ce qui est plus léger : un kilo d'or ou un kilo d'argent ?
Mon argent est aussi antique que la lune ; mon or a le même âge que le soleil.
La mer qu'on voit danser le long des golfes clairs a des reflets d'argent ... la mer ... des reflets changeants sous la pluie ...
" Et, pour l'aider à fuir de ce palais perfide, / de son lâche assassin lui livrant le trésor, / lui montra sous la terre un immense amas d'or. "
Mille doux souvenirs parcourent ce rivage : / de leurs murs paternels reconnaissant l'image, / les Troyens de ces lieux jouissent comme moi, / et leur concitoyen les recevait en roi. / Au milieu de sa cour, sous de vastes portiques, / un grand festin chargeait des tables magnifiques : / ils célébraient Bacchus ; et, dans des coupes d'or, / le dieu de son nectar leur versait le trésor.
Il fuit, le héros reste : on s'étonne, et la foule / admire tant de grâce et tant de majesté. / Vénus même à son fils prodigua la beauté, / versa sur tous ses traits ce charme heureux qui touche : / elle-même en secret d'un souffle de sa bouche / imprime sur son front, allume dans ses yeux, / ce doux éclat qui fait la jeunesse des dieux, / en boucles fait tomber sa belle chevelure, / et pour lui de ses dons épuise sa ceinture. / C'est un dieu, c'est son fils. Bien moins resplendissant / sort d'une habile main l'ivoire éblouissant ; / ainsi l'art donne au marbre une beauté nouvelle ; / ou tel, entouré d'or, le rubis étincelle.
Une île est dans les mers, qu'un golfe étroit sépare / des hauteurs de Mycone et des rocs de Gyare, / délices de Thétis, chère au dieu du trident : / longtemps elle flotta sur l'abîme grondant ; / enfin, du dieu du jour la main reconnaissante / fixa de son berceau la destinée errante ; / et l'heureuse Délos, dans un profond repos, / défia le caprice des vents et des flots.